Publication du bilan définitif 2024 le mercredi 28 mai 2025, disponible en téléchargement ici
En France métropolitaine, 3 193 personnes sont décédées sur les routes (2 465 hommes et 728 femmes) soit 26 tués de plus qu’en 2023 (+ 0,8 %). Le nombre total de blessés est estimé à 236 000, en augmentation de + 0,3 % par rapport à 2023, alors que le nombre de blessés graves estimés reste stable (près de 16 000 blessés graves).
Par rapport à 2019, la tendance est également à la baisse : - 1,6 % de tués, - 1,4 % de blessés estimés (dont – 2,0 % de blessés graves estimés).
Parmi les 3 193 personnes décédées, 2 019 sont décédées dans l’accident qu’elles ont causé et 1 174 n’étaient pas responsables de l’accident (pour 126, le responsable de l’accident est aussi décédé et pour 1 028 il a survécu à l’accident). Si 77 % des tués et 75 % des blessés graves sont des hommes, 84 % des présumés responsables d’accidents mortels sont des hommes; ; alors que 63 % des personnes décédées non responsables sont des hommes.
239 personnes sont décédées sur les routes outre-mer en 2024 (198 hommes et 41 femmes), un résultat supérieur de + 3 % par rapport à 2023 mais inférieur de - 6 % par rapport à 2019.
- 160 personnes sont décédées dans les départements et régions d’outre-mer (+ 19 % par rapport à 2023 et - 1 % par rapport à 2019)
- 79 dans les collectivités d’outre-mer ou en Nouvelle Calédonie (respectivement - 18 % et - 14 %).
Les principaux indicateurs des accidents corporels de la circulation routière enregistrés par les Forces de l'ordre (fichier BAAC, données de l'année N en version définitive en mai de l'année N+1, version quasi-définitive en janvier de l'année N+1) sont labellisés par l'Autorité de la Statistique Publique.
Bilan de l’accidentalité en France (métropole et outre-mer)
3 432 personnes sont décédées en 2024 sur les routes de France métropolitaine ou d’outre-mer (résultats définitifs ONISR).
Ce bilan est supérieur de (+1 %) par rapport à 2023, mais inférieur de - 2,9 % par rapport à 2019, année référence sur la décennie 2020-2030
Les mesures de restriction des déplacements (confinement, couvre-feu) prises en 2020 et au 1er semestre 2021 pour gérer la pandémie de COVID 19 ont conduit à une forte réduction des accidents sur les années 2020 et 2021. Aussi, l’année référence utilisée pour le suivi de l’accidentalité sur la décennie 2020-2030 est l’année 2019.
Bilan de l’accidentalité en France métropolitaine
En France métropolitaine, il est estimé que 3 193 personnes sont décédées en 2024, soit 26 tués de plus qu'en 2023 (+ 0,8 %).
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, en France métropolitaine
D’après la méthode d’estimation ONISR-Université Gustave Eiffel (Registre du Rhône) appliquée aux accidents corporels enregistrés par les forces de l’ordre en 2024, 235 600 personnes ont été blessées en 2024 sur les routes de France métropolitaine, dont 16 000 gravement. L’évolution du nombre de blessés toutes gravités est stable par rapport à 2023 (+ 0,3 %) ; elle l’est également pour le nombre de blessés graves (- 0,1 %).
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, en France métropolitaine, et estimations d’après la modélisation ONISR-Université Gustave Eiffel (Registre du Rhône)
Tendances 2024 sur les réseaux routiers en France métropolitaine
Les routes hors agglomération enregistrent 60 % des décès et 47 % des blessés graves en 2024.
1 924 personnes sont décédées sur les routes hors agglomération (47 tués de plus qu’en 2023 soit + 3 %).
En agglomération, 1 030 personnes sont décédées (9 tués de plus qu’en 2023 soit + 1 %).
Sur autoroute, 239 personnes sont décédées (30 tués de moins qu’en 2023, soit – 11 %).
Sources : ONISR données définitives jusqu'en 2024.
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, en France métropolitaine, et estimations d’après la modélisation ONISR-Université Gustave Eiffel (Registre du Rhône).
Tendances 2024 selon l'âge et le genre en France métropolitaine
Les victimes graves selon le genre
En 2024, sur les 3 193 personnes décédées sur les routes, 2 465 hommes (dont 25 garçons de moins de 14 ans) et 728 femmes (dont 21 filles de moins de 14 ans). 77 % des personnes décédées dans les accidents de la route en France métropolitaine sont de sexe masculin. Ainsi la part des hommes dans la mortalité routière reste prépondérante (77,2 % contre 77,6 % en 2023, 77,3 % en 2019 et 76,7 % en 2018).
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024.
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, en France métropolitaine, et estimations d’après la modélisation ONISR-Université Gustave Eiffel (Registre du Rhône).
Insee - Population 2024 estimée au 1er janvier.
Quel que soit le mode de déplacement, la part des hommes tués est systématiquement supérieure à celle des femmes ; mais elle est très variable selon le mode de déplacement. En effet, les hommes affichent des proportions qui s’étalent de 61 % des tués dans le cas de la marche à pieds à 94 % dans le cas des deux-roues motorisés, en passant par 71 % dans le cas des véhicules de tourisme. Les deux-roues motorisés représentent le mode pour lequel la surmortalité masculine est la plus prononcée, quel que soit l’indicateur analysé. C’est toutefois attendu, au vu du faible nombre de femmes conductrices de deux-roues motorisés. À l’inverse, la marche à pied et les véhicules de tourisme sont les modes pour lesquels la mortalité selon le sexe est la plus homogène.
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024.
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre
Les personnes décédées selon l'âge
En 2024, 94 adolescents de 14-17 ans sont décédés, un bilan en baisse par rapport à 2023 (- 22 tués) et stable par rapport à 2019.
- 529 jeunes adultes de 18-24 ans sont décédés, un bilan plus élevé qu’en 2023 (+ 32 tués) mais en baisse par rapport à 2019 (- 20 tués) ; le nombre de tués de 18-24 ans pour un million de jeunes de cet âge reste très élevé, avec 97 tués par million d’habitants.
- 441 décès sont enregistrés chez les 25-34 ans, un bilan en baisse par rapport à 2023 (- 24 tués) et 2019 (- 75 tués).
- 400 décès sont enregistrés chez les 35-44 ans, un bilan plus élevé qu’en 2023 (+ 35 tués) et 2019 (+ 17 tués).
- Avec un peu moins de 400 décès pour chaque classe d’âge 45-54 ans et 55-64 ans, le bilan est stable en 2024 par rapport à 2023.
- 365 personnes âgées de 65-74 ans sont décédées, stable par rapport à 2023, mais plus élevé qu’en 2019 (+ 48 tués).
- 346 personnes âgées de 75-84 ans sont décédées, plus élevé qu’en 2023 (+ 8 tués) et qu’en 2019 (+ 29 tués).
- 189 personnes âgées de 85 ans ou plus, un bilan plus élevé qu’en 2023 (+ 10 tués) mais en baisse par rapport à 2019 (- 26 tués).
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024.
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, en France métropolitaine
Pour comprendre la véritable évolution du risque pour chaque classe d’âge, il est utile de regarder le nombre de tués par million d’habitants de chaque classe d’âge. Ainsi, compte-tenu de l’augmentation de la population senior, les variations qui apparaissaient souvent en hausse sont relativisées à la baisse ou en stabilité. Les jeunes et adolescents de moins de 18 ans présentent désormais les taux de mortalité les plus faibles. Les progrès les plus forts concernant les décès ont été réalisés chez les 0-13 ans (baisse de - 59 % depuis 2010).
En 2024, 48 personnes sont décédées par million d’habitants en France métropolitaine. Les taux les plus forts, indiquant les classes d’âge les plus à risque de décéder sur les routes, sont :
- 97 tués par million d’habitants pour les jeunes de 18-24 ans ;
- 84 tués par million pour les séniors de 85 ans ou plus ;
- 74 tués par million pour les séniors de 75-84 ans ;
- 57 tués par million pour les 25-34 ans.
Les blessés graves selon l'âge
De l’ordre de 16 000 personnes ont été blessées gravement en 2024 d’après la méthode d’estimation ONISR-Université Gustave Eiffel (Registre du Rhône).
48 % des blessés graves ont moins de 35 ans :
- 730 enfants (0-13 ans) sont blessés graves, un bilan en baisse par rapport à 2023 (- 2 %) et 2019 (- 8 %).
- 1 580 adolescents de 14-17 ans sont blessés graves, un bilan stable par rapport à 2023 et en hausse (+ 6 %) par rapport à 2019.
- 2 790 jeunes adultes de 18-24 ans sont blessés graves, un bilan stable par rapport à 2023 mais en baisse par rapport à 2019 (- 1 %).
- 2 440 blessés graves sont estimés chez les 25-34 ans, un bilan en baisse par rapport à 2023 (- 1 %) et 2019 (- 7 %).
35 % des blessés graves ont entre 35 et 64 ans :
- 1 900 blessés graves sont estimés chez les 35-44 ans, un bilan en baisse par rapport à 2023 (- 1 %) et 2019 (- 3 %).
- 1 950 blessés graves sont estimés chez les 45-54 ans, un bilan en baisse par rapport à 2023 (- 2 %) et 2019 (- 10 %).
- 1 780 blessés graves estimés la classe d’âge 55-64 ans, a un bilan en baisse de - 1 % par rapport à 2023 et 2019
17 % des blessés graves ont 65 ans ou plus :
- 1 400 personnes âgées de 65-74 ans sont blessées graves, un résultat plus élevé qu’en 2023 (+ 2 %), et qu’en 2019 (+ 4 %)
- 1 000 personnes âgées de 75-84 ans sont blessées graves, un bilan plus élevé qu’en 2023 (+ 10 %) et qu’en 2019 (+ 10 %).
- 300 personnes âgées de 85 ans ou plus sont blessées graves, un bilan en baisse par rapport à 2023 (- 1 %) et 2019 (- 9 %).
Les personnes âgées de 65 ans ou plus sont moins souvent blessées gravement, alors que leur vulnérabilité physiologique conduit à ce qu’ils survivent rarement à un accident grave.
Il est estimé que près de 22 300 blessés vont encore conserver des séquelles un an après l’accident. Les moins de 35 ans représentent 50 % des blessés avec séquelles.
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, en France métropolitaine, et estimations d’après la modélisation ONISR-Université Gustave Eiffel (Registre du Rhône).
Insee - Population au 1er janvier 2024 (estimation 2025)
Les personnes décédées non responsables
Parmi les 3 193 personnes décédées dans un accident en 2024, 2 019 étaient présumées responsables et 1 174 étaient non présumées responsables.
1 174 personnes non responsables sont décédées (63% sont des hommes), dont 126 alors que le présumé responsable est également décédé et 1 028 alors que leur PR est vivant. Dans le cas de 20 décès, aucun PR n’a été identifié précisément dans l’accident.
Les victimes tuées non présumées responsables se déclinent ainsi selon leur mode de déplacement :
- 26 % de piétons
- 8 % de cyclistes,
- 1 % d’EDPm
- 16 % de conducteurs 2RM et 3 % de passagers 2RM
- 11 % de conducteurs de VT et 29 % de passagers de VT
- 1 % de conducteurs de VU ou PL, 3 % de passagers de VU ou PL.
Ainsi, 26 % sont piétons, 29 % sont conducteurs de véhicules et 34 % sont passagers de véhicules. 54 % sont des usagers vulnérables (piétons, cyclistes, EDPm, 2RM), aussi bien conducteurs que passagers.
34 % des victimes tuées non présumées responsables ont 65 ans ou plus : 21 % ont 75 ans ou plus. 21 % des victimes tuées ont moins de 25 ans.
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024. Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, en France métropolitaine
Tendances 2024 selon le mode de déplacement en France métropolitaine
Depuis la pandémie, la part des usagers vulnérables, c’est-à-dire non carrossés (piétons, cyclistes, utilisateurs d’EDPm, usagers de deux-roues motorisés) parmi les personnes tuées ou blessées gravement s’est renforcée.
Les occupants de voiture représentent désormais moins de la moitié des personnes tuées (48 %).
La part des usagers de deux-roues motorisés augmente : ces derniers représentent 22 % des personnes tuées, 34 % des blessés graves et 36 % des blessés qui garderont des séquelles 1 an après l’accident, pour moins de 2 % du trafic motorisé.
La part des cyclistes et utilisateurs d’EDPm augmente : ils représentent 8 % de la mortalité, 20 % des blessés graves et 32 % des blessés qui garderont des séquelles 1 an après l’accident.
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, en France métropolitaine, et estimations d’après la modélisation ONISR-Université Gustave Eiffel (Registre du Rhône)
SDES – Enquête Mobilités des personnes 2019
En 2024, parmi les 3 193 tués, 1 518 étaient des occupants de véhicules de tourisme, 720 des usagers de deux-roues motorisés, 456 des piétons, 224 des cyclistes, 45 des utilisateurs d’engins de déplacement personnel motorisé, 120 des occupants de véhicules utilitaires, 30 des occupants de poids lourds, 34 des occupants de voiturette (petites voitures se conduisant avec un permis AM), 7 des occupants d’un autocar ou autobus. Parmi les autres véhicules, 19 étaient en quad, 12 en tracteur agricole, 4 sur un engin spécial de travaux publics
Le nombre de personnes tuées en 2024 est supérieur à 2023 (+ 0,8 %, soit + 26 tués) et inférieur à 2019 (- 1,6 %).
L’augmentation est liée en grande partie à la hausse de la mortalité des usagers à pieds (+ 17 tués par rapport à 2023, - 27 tués par rapport à 2019) et des usagers en 2RM (+ 14 tués par rapport à 2023, - 29 tués par rapport à 2019).
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, en France métropolitaine
Bilan de l'accidentalité en outre-mer
Dans ce chapitre, les résultats concernant les accidents corporels, les tués, et les blessés correspondent aux données définitives telles qu’enregistrées par les forces de l’ordre dans le fichier BAAC. La méthodologie d’estimation des blessés ONISR-Université Gustave Eiffel (Registre du Rhône) n’est pas appliquée actuellement à l’outre-mer.
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, dans les DROM, COM et NC
239 personnes sont décédées sur les routes des territoires outre-mer en 2024, 160 dans les départements et régions d’outre-mer et 79 dans les autres Outre-mer. C’est une hausse de + 3 % (soit 8 tués de plus) par rapport à 2023 et une baisse de - 6 % (soit 15 tués de moins) par rapport à 2019 (année de référence).
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, dans les DROM, COM et NC
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, dans les DROM, COM et NC
En 2024, la mortalité automobiliste représente plus du tiers de la mortalité routière outre-mer avec 86 décès. La ceinture de sécurité est un enjeu majeur dans les territoires d’outre-mer, où plus de la moitié des personnes décédées en véhicule de tourisme, utilitaire ou poids lourd, ne portaient pas la ceinture.
La mortalité en deux-roues motorisé, avec 83 usagers tués, augmente en 2024 par rapport à 2023 (+ 11 tués), soit plus du tiers de la mortalité routière outre-mer. Le non-port du casque concerne plus d’un décès sur quatre en deux-roues motorisé.
La mortalité piétonne, avec 45 piétons tués, augmente en 2024 par rapport à 2023 (+ 6 tués) mais baisse par rapport à 2019 (- 8 tués).
La mortalité routière des jeunes de 18-24 ans est en hausse par rapport à 2023 et stable par rapport à 2019 : 47 tués en 2024 contre 34 tués en 2023 et 49 tués en 2019. 26 jeunes adultes se sont tués en 2024 dans les DROM, contre 9 l’an dernier et une moyenne de 28 ces 5 dernières années.
La mortalité des 25-44 ans est stable par rapport à 2023 et en hausse par rapport à 2019 : 88 tués en 2024, 88 également en 2023 et 86 tués en 2019.
La mortalité des 45-64 ans est en hausse par rapport à 2023 et en baisse par rapport à 2019 : 59 tués en 2024 contre 57 tués en 2023 et 68 tués en 2019.
La mortalité des seniors de 65 ans et plus est en baisse par rapport à 2023 et en hausse par rapport à 2019 : 32 tués en 2024 contre 38 tués en 2023 et 28 en 2019. Les séniors restent toujours beaucoup moins représentés qu’en France métropolitaine
Le risque routier est très variable selon les territoires d'outre-mer
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, dans les DROM, COM et NC
La répartition des décès selon le mode de déplacement met en évidence des parts très différentes selon les territoires.
Alors que la part moyenne représentée par les décès en motocyclette est de 23 % sur l’ensemble des Outre-mer, soit 4 points de plus qu’en France métropolitaine,
- ce ratio est le plus bas en Nouvelle Calédonie (7 %), et en Guyane (14 %);
- il est plus du double que celui de l'outre-mer en Martinique.
- La part moyenne des décès en cyclomoteur est plus du double de l’ensemble de l’outre-mer (10 %), en Guyane (23 %) et en Polynésie française (26 %)
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, dans les DROM, COM et NC
Dans les départements et régions d'outre-mer
La mortalité routière est en hausse dans les départements et régions d’outre-mer. Elle passe ainsi de 135 tués en 2023 à 160 tués en 2024 (135 hommes et 25 femmes), soit 25 tués en plus. Elle est en baisse par rapport à 2019 (2 tués de moins).
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, dans les départements et régions d'outre-mer
Dans les collectivités d'outre-mer
La mortalité dans les collectivités d’outre-mer et Nouvelle-Calédonie est de 79 tués en 2024 (63 hommes et 16 femmes). Elle est en baisse par rapport à 2023 ( 17 tués de moins) et 2019 (13 tués de moins).
Source : ONISR données définitives jusqu'en 2024.
Données relatives aux accidents corporels enregistrés par les forces de l'ordre, dans les collectivités d'outre-mer et Nouvelle-Calédonie